… et elle ne fera déborder aucun vase, AMELI me dit merci !
Oui, car, comme pour un récent cas, la situation actuelle présentée par l’assuré, cette fois-ci, est bien dangereuse aussi pour la société civile, pour la sécurité de tous, pour le bien de chacun, et donc aussi des miens.
On pourrait croire que l’urgence est plutôt à l’intérieur, qu’à l’extérieur, de la maison, mais ce chantier devenait finalement urgent, suite à un deuxième (ou énième ?) dérapage d’un ami qui passait par là et qui avait marché sur la pierre. C’est vrai que, de nuit comme de jour, parfois, entre cette pierre à gauche qui penche légèrement, celle du milieu qui bouge comme une balançoire, et celle de droite qui part encore plus vers la droite, il est aussi difficile de choisir son bourreau.
Alors, avant qu’une véritable torsion de la cheville ne se produise, ou qu’un crâne n’éclate partiellement et me salisse mes belles pierres, j’ai donc pris la décision de reculer certains travaux en cours, et de me pencher sur cet escalier.
Le reste en image… Après tout, il ne s’agit que de quelques marches, pas la peine d’en faire une encyclopédie, même si cela n’enlève rien au travail effectué et au temps pris. :o)
Bigre,
Ne serait ce point le père Guigui, qui 3 fois de suite, mis le pied droit dans cet interstice en pleine nuit…Et de finir par se demander ahuri » tiens j’ai le doigt de pied qui colle à ma airsholl… ! Et oui la nuit c’est permis ;-))
Bon, affaire rondement menée par le père Toinou Vin Diou
Cü
Fichtre,
Il me reste plus que le plancher du premier au dessus de l’atelier pour passer à travers ou alors me vautrer dans l’escalier qui descend à la cave…Plus beaucoup de possibilités pour le père Guigui pour tenir sa réputation ;-))