Les brebis Mérinos enfin au Bief! Voyage à Sisteron (04200).

Sisteron est une belle bourgade, assurément. Le rythme y semble paisible. En tout cas,  il l’était ce 26 mai 2015.
2015 !?!
Nom de Zeus! Encore une faille temporelle!
Il faut s’y habituer sur ce blog, la vraie vie se situe en dehors de l’écran et impose, de fait, un certain cyberdécalage! 😉

Mais, heureusement, les photos me permettent aussi de me souvenir, avec recul, de ce qui s’était passé deux ans auparavant. 🙂

C’était une belle journée, je m’en souviens bien, et pour cause, la raison de ce relativement long voyage était d’aller chercher nos premières agnelles Mérinos, et de les ramener ici, au Bief. Rien que ça!

4h30 de voyage aller, 4h30 de voyage retour, autant dire que le programme de la journée était tout tracé! 🙂

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L’abri pour les brebis Mérinos… 3/x

Février 2015! Le chantier se poursuit.

Il s’agira ici tout simplement de se préoccuper de l’eau de pluie.

Eau qui va couler sur le toit et salir, par ses éclaboussures, cette belle façade arrière!

Sans compter, l’humidité apportée par ces éclaboussures sur la paille qui ne manquera pas de dépasser (les planches des parois n’étant pas en contact avec le sol).

Alors, avec cette ancienne gouttière récupérée  sur un précédent chantier, et un habile bricolage pour la raccourcir, nous avons pu la placer de manière à ce que l’eau finisse sa course dans la pente du talus.

L’abri est maintenant presque à l’abri de l’eau, reste encore les tuiles de rives (sur les côtés), et l’huile de lin qui protégera le bois. Et plein d’autres détails encore, des petits et des très gros…

Chantiers à suivre! 🙂

Mangez Bio !

Épandage de diarrh… euh, de lisier, sur cultures après récolte, en octobre 2014, sur un terrain non loin d’ici. Heureusement, pas au-dessus de l’étang, mais la rivière Le Mussy coule juste au fond, le long des arbres! Bonjour les nitrates! Et bon appétit! ^_^ 1

Cette culture aura produit du grain dédié au nourrissage des bovins, des vaches charolaises au Label bien Rouge, même si pour l’instant, c’est plutôt bien Brun! 😉

Cette terre, ici sur laquelle on se sera, comme à chaque vidange de fosse à lisier, débarrassé d’un encombrant et nauséabond déchet d’élevage très déséquilibré pour les sols,  servira la saison prochaine, après labours, à produire encore et encore du fourrage pour les animaux (les pauvres!), qui seront consommés ensuite par les humains (les pauvres!). Oui, car manger ce qui va pousser sur ce sol ne me semble guère inspirant et vivifiant! :/

Alors, comme c’est le moment des bonnes résolutions, mangez des légumes bio ! 😉 Ce sera déjà ça de moins pour les sols… Ou plutôt, ce sera déjà ça en plus pour les sols, qui n’auront plus à subir de telles pratiques.

  1. Oui, je sais, la photo n’est pas terrible, mais c’est la seule que j’avais prise ce jour-là. Mais, en l’ayant revu en préparant les photos de l’article précédent, j’ai eu envie de la partager, car je la trouvais très parlante pour illustrer le contenu de vos assiettes. Pour illustrer le traitement que l’homme inflige à la terre, et donc à lui-même, et pire (sic), à ses enfants!

Le Bief en version Instagram

Oui, bon, en fait, ce sera une version locale et paysanne d’Instagram 1, c’est à dire un partage d’images mais sur un bon vieux blog à papa! ^_^

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Oui, c’est aussi ainsi que je le vois finalement, un blog à papa. Pas seulement pour le côté familial et amateur, mais j’estime que ce site est aussi assez austère graphiquement, d’une certaine manière en tout cas, que ma cyberboutique http://www.couillaler.fr ! Si, si! Je l’assume. ^_^

Par rapport à d’autres, autant dire qu’on a affaire ici à un décorateur numérique assez simpliste. 🙂

Par manque de temps, mais aussi parce que, je l’assume aussi, je me contente, oui, de thèmes par défaut, ou de codes HTML assez anciens et assez simples. Les choses simples me vont aussi assez bien finalement. Je le suis moi-même sous bien des aspects.

On dit ici que c’est mon côté Grompf, pour ce qui est de la finesse à propos de certaines choses… Grompf_1

L’avantage c’est qu’ainsi, malgré ce temps numérique qui passe encore plus vite que le temps réel, le site fonctionne toujours assez bien, techniquement, et vole au-dessus des mises à jour sans subir les affres des correctifs alors appliqués.

On dit aussi souvent que les choses simples sont celles qui fonctionnent le mieux.

Cela dit, on dit souvent des choses et ce n’est pas toujours vrai! 😉

Bon, pour en revenir à nos moutons, si je veux que ce site continue d’avancer un peu, il faut que je m’y mette. Je dois dire que le temps manque beaucoup pour maintenir ce site. Oui, je le dirais à chaque message sur ce blog, mais comme ils sont espacés de plusieurs semaines  chacun, disons que je ne le dis pas en réalité si souvent! 😉

Je me suis encore demandé si je devais le maintenir tout simplement vivant, si je ne devais pas plutôt le fermer et m’ôter ceci de mes listes de choses à faire. Mais, à chaque fois, je me dis qu’il y a tout de même une finalité à cela, un but, un projet, des vies. Alors, même si tout n’est pas passionnant, il y a tout de même une chose importante, c’est de savourer le plaisir de voir Le Bief évoluer au fil des années, de voir que des choses verdoyantes continuent de s’y dérouler.

Alors, poursuivons notre avancée dans le temps et voyons aujourd’hui comment se passaient les choses en mai 2014… Oui, malgré mon retard important sur ce blog, je vais continuer à maintenir cette chronique sans sauter toutes ces étapes photographiées.

En vrac, mais avec des commentaires plus détaillés, il sera question d’une modification importante sur la tondeuse autoportée Snapper 13/72 puisque, cette fois-ci, j’ai fait installer des pneus agraires à l’avant (oui, bon, cette modification, les plus attentifs d’entre vous l’auront déjà corrigé, avait déjà eu lieu plusieurs mois avant, mais je n’en avais jamais encore parlé ici, alors je le cale en mai, voilà! 🙂 ). Ce n’était pas si simple, il aura déjà fallu que mon génial installateur trouve une telle référence de pneus aussi petits, puis qu’il découpe un peu le châssis de la tondeuse pour que les roues ne frottent pas dans les virages. Car si l’installation de pneus arrières agraires avait déjà apporté un plus vraiment certain, l’accroche était telle, justement, que je partais tout droit dès que les roues avant patinaient un peu, ce qui me faisait faire des manoeuvres supplémentaires pour revenir sur le bon chemin.

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Avec ces roues, la tenue de route est impeccable, les virages sont plus serrés, et ce, même sur l’herbe bien mouillée. Je pense aussi que l’économie d’essence n’est pas négligeable avec le temps. Ça augmente aussi les vibrations sur la machine, mais je passe tellement partout maintenant que ce désagrément est bien faible comparé aux avantages d’une telle configuration.

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On verra aussi, parmi ces photos, les buttes potagères du haut, avec les plantations du mois de mai de cette année 2014.

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Et puis bien entendu, le projet de l’année, enfin de plusieurs années en fait, passées et à venir : Le Verger Conservatoire et Fourrager du Bief. Oui, ce sont une bonne soixantaine d’arbres fruitiers et fourragers aujourd’hui! Répartis sur trois parcelles sur environs 1ha.

Autant vous le dire à l’avance, cela implique aussi une certaine intendance aujourd’hui!
Pour faire un aparté sur la situation en cet été 2015, la sécheresse, la canicule et les rongeurs sont de bonnes raisons qui expliquent aussi mon absence sur ce blog. Car arroser 60 arbres, sur lesquels il faut aussi intervenir, selon les saisons, soit contre les pucerons, soit en détruisant manuellement les galeries des innombrables rongeurs qui infestent toutes les terres arrosées en ces mois de disette, c’est bien 5 bonnes minutes par arbre une ou deux fois par semaine, faites le calcul, mais ça finit par prendre du temps sur un emploi du temps déjà chargé. Mais je reviendrai sur ces points le moment venu… J’ai des photos! 🙂

Pour l’instant, nous sommes encore en mai 2014, en pleine réalisation de notre projet, commencé il y a un certain temps.

Qu’allons-nous encore voir sur ce diaporama? Ah oui! La nouvelle acquisition du Bief, cette remorque agricole trouvée pour pas cher que je compte fixer à la tondeuse Snapper et ses 13CV! Mais avec ses beaux pneus pour mieux tracter le bouzin. 🙂 L’idée est de m’en servir pour l’arrosage des vergers (et aussi de m’en servir comme remorque pour les travaux agricoles et futures récoltes), car je galérais, en mai 2014 avec cela. C’était ambiance Interville avec arrosage à la brouette à travers champs! Des épisodes joyeux que je vous conterai un peu plus tard, pour l’instant, il faut modifier le timon de la remorque pour l’adapter à un système à fixer sur la tondeuse! Oui, encore une bidouille faite intelligemment par notre ingénieur Snapper local.

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Et puis quelques photos ensuite pour voir que les abeilles se portent toujours bien sur ce mur enduit par l’extérieur avec une couche isolante en terre-paille avec finition chaux.

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Ah, et des photos de verdure aussi… parce que c’est important la verdure!

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  1. http://www.instagram.com où on peut lire :

    Capturez et partagez les meilleurs moments du monde entier

    Instagram est une manière simple et gratuite de partager votre vie et rester en contact avec d’autres personnes.

    Prenez une photo ou enregistrez une vidéo, puis personnalisez-la avec des filtres et des outils de création. Publiez-la sur Instagram et partagez-la instantanément sur Facebook, Twitter, Tumblr et autres. Ou envoyez-la sous forme de message privé. Trouvez des personnes à suivre en fonction de vos intérêts et rejoignez une communauté qui va vous inspirer.

Planches et Cie.

fleurs du pêcher...
Fleurs du pêcher…

En cette fin mars 2014, de jolies petites fleurs de pêcher émergeaient déjà vaillamment hors de leur bourgeon.

Cet arbre, d’ailleurs, en est à ses débuts et il n’aura fait finalement que quelques petites pêches. Non! Disons plutôt que cet arbre, d’ailleurs, en est à ses débuts, et il a déjà fait quelques petites pêches!

Oui! C’est mieux ainsi. ^_^

Au final, de toute façon, nous n’en aurons guère profité en 2014, les pêches étant relativement petites ou n’étant pas forcément là aux bons moments, par exemple. Ce qui n’a pas empêché, cela dit, une faune diverse et sûrement non moins variée de venir trouver de quoi mangeailler. Et nous de nous dire qu’on fera mieux la prochaine fois, sachant que rien n’est jamais perdu pour tout le monde.

En attendant, comme le temps, lui, se perd vite, j’ai aussi poursuivi ce long chantier de piquets, de planches clouées et de clôtures grillagées, et parsemé ce dernier de quelques chantiers nouveaux pour moi, comme la conception de portail!

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Isolation façade nord… 9/x

mmmm…. devinez de quelle période nous approchons ?

Citrouilles d'Halloween

Oui, bon, facile…. Octobre ?

Oui, mais cet octobre-ci date encore d’avant. D’un certain mois d’octobre 2013!

Il régnerait ici une certaine instabilité temporelle que je ne m’en étonnerais pas trop..

Cela dit, vu que nous sommes en réalité bientôt en octobre 2014, j’ai donc une année d’articles d’avance, en fait!

Continuant, bien sûr, à photographier les nombreuses évolutions par ici, j’ai ainsi en ma possession de quoi satisfaire la soif insatiable de cette sempiternelle page blanche et vide qui pourtant nourrit tant de nos esprits. C’est pas mal. Ah ça oui! Beaucoup de rédacteurs, de producteurs ou de scénaristes aimeraient bien pouvoir en dire autant, un an d’avance !

Dire qu’il me suffit d’avoir un an de retard! 😉

Nyak Nyak
Nyak Nyak

En plus de cela, cela me permet aussi de voir que, depuis ce temps-là, quand je reprends ces photos datant d’un an, certaines choses ont bien bougé. Et d’autres pas trop, comme ces articles que je n’arrive jamais, ou presque, à faire court. ^_^

En tout cas, on peut trouver des choses positives partout, c’était ça le message!

En ce mois d’octobre 2013, donc, en plus de courgicides, c’est l’heure de faire un joli test de colorimétrie, comme ceux que l’on voit dans les magasines ou les livres sur le bricolage.

Le tout est d'arriver à imaginer ces échantillons sur un mur de 65m2... :o/
Le tout est d’arriver à imaginer ces échantillons sur un mur de 65m2… :o/

Même si de vieux petits démons resurgirent à la fin du chantier, avec de vieilles rengaines, autrefois redondantes et trimestrielles, « Manque de rigueur! », « Peut mieux faire! » ! Éternels et inatteignables objectifs, car sans cesse repoussés vers un lointain et flou paysage doré promis par nos percepteurs d’alors. Parce qu’on peut toujours mieux faire.

Nyouk Nyouk
Nyouk Nyouk

De fait, sûrement parce que je suis aussi comme cela, et qu’il faut aussi plutôt y trouver du positif, et surtout parce que je préfère juger moi-même de ce genre de choses (attendant plutôt de mes instructeurs des encouragements, qui ne venaient bien souvent, ou plutôt que trop rarement, hélas, seulement tartinés parfois sur le papier avec les mêmes laconiques inconsistances verbales qui revenaient année après année), et parce que j’ai demandé ce qu’il pouvait en être à un maçon confirmé, le temps devrait patiner un résultat final que nous jugeons très beau, mais aussi avec des variations de couleur.

Oui, c’est une bien longue phrase pour dire qu’il faudrait que je m’organise différemment, ou plus rigoureusement, pour les pesées des colorants utilisés (ocre et terre de Sienne).

Les trous causés par les accroches (nécessaires vu la hauteur de l’échafaudage et le fait que je n’aie pas le matériel pour étamper de manière sécurisée un édifice si haut et si lourd) sont au final, une fois toutes les couches superposées appliquées, assez larges.

Le souci posé par les accroches de l'échafaudage sera l'épaisseur de mortier nécessaire pour les boucher.
Le souci posé par les accroches de l’échafaudage sera l’épaisseur de mortier nécessaire pour les boucher.
Le mortier et l'enduis par dessus ont séché depuis... vous verrez les photos prochainement...
Le mortier et l’enduit par dessus ont séché depuis… vous verrez les photos prochainement…

Vous l’avez compris, pour ceux qui ont lu jusqu’ici, qu’il s’agit ici de traiter de l’application de la dernière couche d’enduit, sur notre isolation extérieure en terre/paille/chaux.

Reprenons par le début...
Reprenons par le début…

Cette dernière couche est une couche simplement composée de sable fin (0-2mm) et de chaux et d….

Oh, et puis, en fait, cette recette a déjà été écrite, et par celui qui me l’a donnée qui plus est, autant lui rendre ce que je peux lui donner maintenant :

Vous voyez d’ailleurs la bande jaune sur la gauche de la photo ci-dessus ? Il s’agit de notre grande façade est, isolée par l’extérieur sur toute sa longueur avec le procédé ISOSAINTASTIER®. Oui, j’y viendrai dans un prochain article, mais sachez en tout cas que ce très efficace procédé d’isolation extérieure, à base de blocs de chaux naturelle, a été joliment et efficacement posé par la société SARL BÂTISSE, que je ne peux que recommander encore, vraiment, et sincèrement!

Notez que ce mélange est celui adapté aux matériaux utilisés ici, il faudra peut-être l’adapter chez vous.

« Pour tes enduits de finition:

  • Un volume de chaux aérienne
  • Trois volumes de sable 0/2
  • 2% du poids de chaux d’ocre jaune
  • 1% du poids de la chaux de terre de Sienne

Mélange des ocres et de la chaux à sec.
Puis incorporer l’eau (quantité variable en fonction de l’humidité du sable).
Puis incorporer le sable.

Bien mouiller le mur avant et pendant.

Choisir plutôt un jour froid et humide, tu auras plus de temps pour le travailler et tu sueras moins! [ndantoine: ce qui, en ce mois d’octobre, dans notre bien-aimé Brionnais, heureusement ici, ne manque pas trop]

Pour les fixations d’échafaudage on les rebouche généralement à frais en démontant après avoir enduit tout le mur.

On évite surtout d’en avoir trop!

Épaisseur de l’enduit environ 6/8 mm. »

Voilà.

Il n’y avait plus qu’à !

Et c'est reparti pour de longues et agréables caresses... bon, un peu longues quand même... :)
Et c’est reparti pour de longues et agréables caresses… bon, un peu longues quand même… 🙂

J’abrège le reste en images… Il serait trop long de tout raconter ici, je vais tenter de résumer tout cela dans les commentaires photo.

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Clôturer, déclore et autres occupations censées

On peut clôturer. Le mot existe. Mais « déclôturer », lui n’existe pas. On peut déclore un pré. Mais, le plus souvent, on ne le clôt pas. On clôt un dossier ou un projet, mais pas un pré, lui, en général, même si on peut le clore, on préfère le clôturer. Allez savoir…

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Bon, et puis, il y a ceux qui en parlent… et ceux qui clôturent, ou qui déclosent ! ^_^

Je suis tout cela. Modestement, bien sûr. 😉

Pour l’enlever, toujours très simple, comme tant de choses si longues à faire, il suffit de déclouer les barbelés, récupérer toutes les pointes (les clous en U), sectionner les barbelés (traîner les grandes longueurs dans l’herbe, à plusieurs, ça va, mais tout seul…), enlever les gros piquets en bois, les rassembler, évacuer le tout vers les endroits appropriés (déchetterie, stock de bois en vue d’un sciage, stock de piquets pour réutilisation)… Hop hop hop, il n’y qu’une longueur de clôture, une petite centaine de mètres (avec 5 fils barbelés tendus, soit juste 500m de fil à découper. Oui, 500m , c’est à dire de là ou vous vous situez maintenant, jusqu’à… ben jusqu’où ? À vous d’y réfléchir…  :o) ) , il n’y en a que pour quelques toutes petites heures, voyages à la brouette compris. 🙂

Comme ce petit chantier, qui rentre dans le cadre de notre grand projet de maîtres du monde, date du mois d’octobre 2013 (oui, je reprends et poursuis ma remontée dans le temps), j’en profite pour vous glisser quelques photos de mes buttes potagères d’alors (pour comparer avec celles d’aujourd’hui), dont l’une sortait tout juste d’une séance de coiffure façon broyage d’engrais verts avant enfouissement.

Parce que déclore, c’est bien, mais allier cela à un peu d’observation jardinière, c’est mieux! :o)

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Le retour des Z’abeilles !

Oui, oui, les revoilà déjà ! Mais de quoi ? De qui ?

Ben, les abeilles dans le plafond de notre salle de bain, bien sûr ! ^_^

Un joyeux et bourdonnant retour !
Un joyeux et bourdonnant retour !

Mais qu’est-ce que c’est encore que cette histoire ???

Pour résumer l’affaire, nous avons, pour la deuxième fois, un essaim d’abeilles qui est venu s’installer au-dessus des planches du plafond de notre salle de bain, en dessous du plancher des combles. Plancher sur lequel reposent depuis plusieurs années maintenant une bonne quarantaine de centimètres de ouate de cellulose, l’isolant que nous avons choisi pour le haut (les combles n’étant pas utilisés, et ne le seront pas). Autant dire que ces abeilles, entre le plafond de la salle de bain et ses températures parfois chaleureuses, 40-50cm de ouate sur le dessus et un interstice, où elles logent, chauffées par les vents chauds de l’insert qui chauffe la maison, autant dire qu’elles devraient bien passer l’hiver… :o)

Sans oublier l’isolation extérieure terre-paille-chaux dont profitent aussi ces nouvelles abeilles aujourd’hui.

La fenêtre de la salle de bain, les deux trous au-dessus servant d'entrée pour la ruche.
La fenêtre de la salle de bain, les deux trous au-dessus servant d’entrée pour la ruche.

Un nouveau petit retour arrière s’impose.

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