 Quelques photos récentes de Virgile et Darius… Continuer la lecture de « Une partie de cache-photos »
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Toutes ces petites briques…
 … finiront bien par donner un très beau mur.
… finiront bien par donner un très beau mur.
En moins imagé, si j’ai l’impression que les choses ne bougent pas aussi rapidement que je ne le désirerais, c’est peut-être à cause de la largeur du spectre de notre projet. Pour le réduire, et ainsi faire avancer le schmilblick, c’est une myriade de petites choses, de petits bricolages, qu’il faut aussi faire. Comme dans toute maison avec jardin bien entendu. Sauf que là, ce sont plusieurs maisons sur deux hectares et demi :o)
Les exemples qui suivent ne sont absolument pas exhaustifs et finalement ne représentent pas trop tous ces petits travaux qui s’en sentent irrémédiablement réduits. Mais ne me déplaçant pas perpétuellement avec un appareil photo autour du cou, je ne cours pas le chercher à chaque fois que je vois / découvre une bricole.
La Main Morte n’a jamais été aussi vivante…
 Oui, je sais, elle est un peu facile ^_^ … ne comprendront que ceux qui iront un peu plus loin dans la recherche d’informations…
Oui, je sais, elle est un peu facile ^_^ … ne comprendront que ceux qui iront un peu plus loin dans la recherche d’informations…
Pour vous signaler l’apparition sur la toile d’une boutique plutôt sympa, et pas seulement parce que c’est celle de mes cousins jurassiens, mais parce que question mercerie, c’est rare que cela soit à partir de fournitures locales.
Alors comme en plus vous profitez d’une réduction incroyable de 30% sur votre première commande jusqu’au 30 septembre, avec un franco de port à partir de 15 euros, franchement je ne pouvais qu’en faire un peu de promotion ici ^_^
Alors, comme pour le reste, soyez des consommateurs avertis et privilégiez les offres locales !
Merci merci…
Les dernières photos de Virgile…
Pour marquer le coup pour le 10 000 ème visiteur de ce blog, un an d’existence environs, il me fallait trouver un évènement marquant. Sans nul doute, un seul se présente !!!
En effet, Virgile a décidé de se montrer une dernière fois…
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Les 1er paniers de l’AMAP …
 Belle journée encore que celle-ci. Notre premier panier de l’AMAP d’entrePOTE arrive au Bief…………
Belle journée encore que celle-ci. Notre premier panier de l’AMAP d’entrePOTE arrive au Bief…………
Mais qu’est ce qu’il raconte celui là ? que sont-ce donc tous ces joyeux acronymes ?
Finalement donc, il n’y a pas que quand j’étais de la simple grenaille d’informaticien que je savais être incompréhensible, tout comme cette phrase d’ailleurs ^_^
Cela mérite donc bien quelques éclaircissement…
A Gueugnon (71), on peut dire merci à son maire… et à Areva
Lu dans le journal de Saône et Loire Info, j’ai été interpellé par quelques points dans cet article… Il fallait que je complète cette information en une seule et même page pour mieux le comprendre.
Je vous place l’article ici :
Le site de Gueugnon sécurisé à l’été
Publié le mercredi 11 mars 2009
Le 22 janvier dernier, le Comité local d’information et de suivi qui assure la gestion des déchets radioactifs du site de Gueugnon a validé le programme de travaux de sécurisation proposé par Areva.

En mars 2007, sur un terrain attenant l’ancien site minier de Gueugnon, la Commission de recherche et d’information indépendante sur la radioactivité, la CRIIRAD, a décelé la présence de radioactivité à des taux supérieurs au milieu naturel. Dès lors, et après la confirmation de l’Autorité de sûreté nucléaire, la municipalité a demandé qu’un comité local d’information et de suivi, le Clis, soit mis en place et a souhaité qu’Areva étudie des solutions de sécurisation du site. Prenant l’affaire très au sérieux en raison de la proximité du stade de football, le comité a demandé en octobre 2008 qu’une clôture industrielle entoure le site de stockage. Depuis le 15 janvier, c’est chose faite.
Réuni le 22 janvier dernier, le Clis a validé le programme de travaux proposé par Areva qui consiste à sécuriser le parking. Les gros travaux de décapage et goudronnage se feront durant l’été 2009, pendant la trêve footballistique. Lors du conseil municipal du 19 février, le maire de Gueugnon, Dominique Lotte a en plus souhaité que l’aire de stationnement soit également close jusqu’à la réalisation des travaux. Par ailleurs, il a exigé que des contrôles réguliers et rigoureux soient effectués sur le site une fois le chantier terminé.
En publiant sur son espace Internet la base de données complète des 210 anciens sites miniers d’uranium exploités en France, l’institut de radioprotection et de sûreté nucléaire met ainsi l’historique de chacun d’eux à disposition des citoyens et des élus. Pas moins de vingt sites sont répertoriés en Saône-et-Loire.
Pour prévenir d’éventuelles émanations radioactives supérieures au niveau naturel, garantir la sécurité des populations et maintenir la qualité environnementale du département, le président du Conseil général, Arnaud Montebourg a demandé officiellement au Préfet un point précis sur les mesures de sécurité réalisées et sur les dispositions envisagées pour chacun des vingt sites.
——
Plusieurs points m’étonnent, visiblement pas le rédacteur de cet article, mais peut-être me manque t-il des éléments. :o) En recoupant plusieurs sources d’infos, on trouve des compléments intéressant ^_^
AUCUN LIEN VERS L’ARTICLE ou le site de la CRIIRAD ! dommage
http://www.criirad.org/actualites/dossier_09/gueugnon/communique.html
Commission de Recherche et d’Information Indépendantes sur la Radioactivité
Radioactivité à Gueugnon                       (71) :
le conseil municipal doit trancher le 14 mai 2009
COMMUNIQUE                       DE PRESSE – 13 MAI 2009
La municipalité doit décider, demain 14 mai, si les déchets radioactifs resteront, ou pas, dans le sous-sol du parking du stade de foot.

– « Le scandale de la France contaminée »
Tel était le titre de l’émission « Pièces à conviction » diffusée                           le 11 février dernier. Elle s’ouvrait sur le                           dossier du parking radioactif : « Notre enquête                           commence à Gueugnon, en Saône-et-Loire. Nous                           sommes ici à quelques mètres du stade de football.                           Les soirs de match, tous les supporters viennent ici. Pourtant                           l’un des deux parkings sur lesquels ils se garent est                           contaminé. Radioactif. »
En effet, des contrôles effectués par le laboratoire                           de la CRIIRAD et confirmés par la DRIRE avaient mis                           en évidence des niveaux d’irradiation anormaux                           sur l’ensemble du parking. Il faut dire que près                           de 25 000 tonnes de déchets radioactifs ont été enfouis,                           en vrac, dans le sous-sol. Il s’agit de résidus                           provenant du traitement du minerai d’uranium et produits                           par l’ancienne usine Cogéma, implantée à proximité,                           sur la rive droite de l’Arroux. Ce dépôt                           n’a pas d’existence légale et contrevient                           aux règles de gestion en vigueur : les déchets                           ne sont pas conditionnés et rien ne les protège                           de la lixiviation par l’eau de pluie ou des remontées                     d’eaux souterraines.
–                            Enlèvement des déchets radioactifs ou simple                     recouvrement ?
A la demande de la DRIRE, deux options ont été définies                             par AREVA (Cogéma), c’est-à-dire par                             le producteur des déchets :
– Pour un coût de 700 000 €HT : la décontamination                             complète du parking sud : le décaissage et                             le transfert de 33 000 m3 de résidus et le comblement                             de la cavité par des matériaux non radioactifs.                             Le règlement du problème est définitif.
– Pour un coût de 350 000 €HT, finalement porté à près                             de 500 000 €HT : le décapage superficiel des                             emplacements les plus actifs (enlèvement de 1 200                             m3 de résidus) et le recouvrement du parking par une                             couche de matériaux neutres et 5 cm d’enrobé.                             Le traitement du problème est provisoire et limité :                             l’irradiation induite par les produits radioactifs                             ne devrait plus être perceptible en surface mais les                             25 000 tonnes de déchets restent dans le sous-sol.
L’Administration n’ayant rien imposé à Areva,                             c’est logiquement l’option la moins onéreuse                             que l’exploitant s’est proposé de mettre                     en œuvre.
– La réunion                         du 21 avril 2009
Lors de la réunion de la CLIS[1] qui s’est tenue à la                               sous-préfecture de Charolles, le président                               de la CRIIRAD a défendu l’option du retrait                               total des déchets radioactifs. En effet, le recouvrement                               par une couche d’enrobé n’a rien d’une                               solution pérenne… surtout en regard de la « durée                               de vie » de ces déchets qui se compte en centaines                               de milliers d’années. L’option « recouvrement » ne                               fait que reporter le problème à plus tard (15                               ans ? 20 ans ?) et il incombera alors à la collectivité,                               et non plus au pollueur, d’assumer les dépenses.                               Il est dans l’intérêt de la population                               que la décontamination soit totale. Le président                               de la CRIIRAD soulignait par ailleurs que la révision à la                               hausse des estimations rapprochait le coût de la solution                               définitive (700 000 €HT une fois pour toute)                               de celle du simple recouvrement (500 000 €HT avec des                               travaux à renouveler régulièrement sur                               des milliers d’années !).
Au plus fort de la réunion, le représentant                               d’AREVA a semblé prêt à reconsidérer                               la position de l’exploitant … mais le maire de                               Gueugnon bloquait alors toute possibilité de négociation                               : selon lui, dans la mesure où plus rien ne serait                               détectable en surface, où le site serait goudronné et                               entouré d’une « belle palissade en bois »,                               les déchets radioactifs pouvaient bien rester dans                       le sous-sol !
– La responsabilité du conseil municipal
Il reste encore une chance. Le jeudi 14 mai au soir,                               le Conseil municipal de Gueugnon se réunit et doit se prononcer                               sur le dossier. Lors de la réunion du 21 avril, la                               CLIS s’est déclarée en faveur des travaux                               mais sans préciser lesquels : enlèvement des                               déchets ou simple recouvrement. Il est encore possible                               d’organiser la décontamination totale du site.
o Soit les élus retiennent cette option et la page                               du parking radioactif peut enfin se tourner.
o Soit ils acceptent que les déchets radioactifs restent                               dans le sous-sol et le dossier va rebondir tant sur le plan                               administratif que judiciaire. Ils prennent alors le risque                               de perdre l’usage du parking… tout en conservant                               les déchets radioactifs ! Les responsables devront                               expliquer à la population pourquoi ils ne se sont                               pas battus pour obtenir l’enlèvement des déchets                     et garantir l’usage du parking. 
–                                La transformation du parking en installation de stockage                     de déchets radioactifs !
En effet, interpellée par la CRIIRAD sur la présence                                 illégale des déchets radioactifs dans le sous-sol                                 du parking, la DRIRE a annoncé qu’elle régulariserait                                 la situation en incluant le parking dans le périmètre                                 de l’installation classée pour la protection                                 de l’environnement (ICPE).
Le parking devrait donc être inscrit sous le numéro                                 1735 de la nomenclature des ICPE, qui regroupe les installations                                 de dépôt, entreposage ou stockage de substances                                 radioactives sous forme de résidus solides de minerai                                 d’uranium, de thorium ou de radium ainsi que leurs                                 produits de traitement.
Or, il s’agit d’une modification très                                 importante apportée à l’ICPE existante                                 et qui nécessite le dépôt d’une                                 nouvelle demande d’autorisation avec enquête                                 publique et étude d’impact (cf. notamment l’article                                 512-33 du code de l’environnement). Dans le cadre de                                 cette procédure, l’accès du public à l’ICPE                                 sera nécessairement examiné : l’utilisation                                 d’une installation à risque en tant que parking                                 ouvert au public constituerait en effet un précédent                                 inquiétant.
Par ailleurs, des recours seront introduits contre                                 la décision                                 de l’Administration de « régulariser » une                                 situation de pollution par un simple jeu d’écritures                                 au lieu de traiter le problème sur le fond. La procédure                                 envisagée par la DRIRE vise en effet à transformer                                 un site contaminé en stockage dûment autorisé au                                 titre de la rubrique 1735 de la nomenclature des ICPE.
Au-delà du cas de Gueugnon, cette « gestion » des                                 sites pollués créerait un précédent                                 extrêmement dommageable pour la défense des                                 intérêts environnementaux et sanitaires. Si                                 ce projet est mené à terme, la CRIIRAD espère                                 pouvoir compter sur une mobilisation au niveau national,                                 tant de l’opinion publique que du milieu associatif. 
[1] Commission Locale d’Information et de Surveillance.
——–
Vous avez noté habitants de Gueugnon que votre maire se soucie profondément de votre santé, et surtout celle de vos enfants et petits enfants (passage en gras). J’espère que vous êtes heureux d’avoir emmené vos enfants au foot jusque là… Souvenez vous en aux prochaines municipales !
Bon, pour en revenir à cet article, notons aussi que comme annoncé dans l’article de la CRIIRAD, c’est bien l’option la moins onéreuse et la moins pérenne qu’AREVA a choisi d’appliquer. Merci encore ANNE LAUVERGEON, à vous non plus on ne doit pas que la lumière…
D’ailleurs, en parlant du méchant loup, pourquoi donc en cette période de crise et de chasse aux salaires faramineux aucun média n’a parlé de son étrange augmentation de 33% de ses émoluments ? pourtant 33% en plus c’est pas mal, surtout quand le total arrive à 919 000 euros !!!!!! C’est sûr 600 000 c’était pas assez pour payer les études de ses enfants, histoire de se faire pardonner la planète qu’elle est en train de leur laisser…. et à nous. Mais ça elle s’en fout.
Ça ne tourne vraiment plus très rond ici bas…. Le tout à environs une heure du Bief… brrrrrrrrrrrrrrr……..
Une seule solution, changez d’opérateur électrique !!!! c’est simple, facile, et très rapide. Et n’ayez pas peur d’un SAV déficient, au contraire, puisque ce n’est pas EDF qui se charge des opérations mais ERDF. Sortons de cette cochonnerie de nucléaire !!!
Le verger conservatoire du Bief
Un peu de ménage
La marche des Lavoirs, à Saint Julien de Jonzy
 Il y a de cela quelques temps déjà, c’était l’anniversaire de Darius, et ce même jour, nous avons aussi participé à la marche des lavoirs, à Saint-Julien de Jonzy. C’était un 17 mai…
Il y a de cela quelques temps déjà, c’était l’anniversaire de Darius, et ce même jour, nous avons aussi participé à la marche des lavoirs, à Saint-Julien de Jonzy. C’était un 17 mai…
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