Une brochure très instructive sur l’IEF

Brochure sur l'instruction en famille

 

J’ai ouïe dire qu’il existait une association qui éditait L’instruction en famille, un mode d’instruction à part entière qui était fort intéressante et gratuite !

Je me suis dit qu’il aurait vraiment été bien dommage de ne pas faire suivre cette information trouvée sur ce site

http://www.lesenfantsdabord.org/l-instruction-en-famille-un-mode-dinstruction-a-part-entiere/

Où on peut lire entre autres :

Cette brochure présente l’instruction en famille : son contexte légal, les motivations des parents, … apporte des réponses aux questions que le grand public se pose sur ce choix encore mal connu comme la socialisation, « est-ce que je saurai ? », l’aspect matériel, …

Elle apporte également des informations sur le contexte politique de la loi et sur ces effets sur la pratique de l’instruction en famille.

Trois pages sont consacrées aux témoignages d’enfants et d’adolescents instruits en famille.

 

SOMMAIRE
  • L’instruction en famille, un mode d’instruction à part entière
  • La liberté de l’enseignement à l’épreuve des apprentissages informels
  • Chronologie d’une loi
  • Contrôles pédagogiques : état des lieux 2010
  • Ce que les familles attendent des contrôles
  • Nouvelle circulaire du 26 décembre 2011
  • Témoignages d’enfants et d’adolescents
  • Les associations nationales
  • Bibliographie

Cette brochure peut être commandée gratuitement, hors frais de port sur les sites suivants :

Voilà, ainsi je peux aussi redonner vie à ce blog qui le mérite bien. Surtout qu’après plusieurs mois sans un seul nouvel article, il compte toujours néanmoins un nombre sans cesse croissant d’abonnés, cela méritait d’être signalé, merci à vous tous. ;o)

J’espère que le prochain article ne sera pas aussi long à venir.
Il faut dire que ça bouge toujours par ici… et le blog en pâtit.
Normal et rassurant cela dit, mais la vrai vie avant tout !

Le jardin de l’année 2011 !

Non non, pas la peine de vous précipiter, il n’est pas question ici de prix et de concours, mais simplement d’un rapide résumé de nos travaux de jardinage 2011.

Je constatais en fait tout récemment que je n’en avais guère parlé jusqu’ici.

Non pas que ces jardineries diurnes soient bien passionnantes, mais pour en avoir déjà traité plusieurs fois ici, je trouvais ça plutôt juste de faire un état de ce qu’il en est cette année.

Et puis pour rassurer tous ceux qui comme moi ne savaient pas trop où ils mettaient les pieds, si ce n’est quelques centimètres sous terre…

Tout a commencé par la révision des buttes des années précédentes. Cette année, pas question de jouer au coiffeur et de continuer à tailler éternellement l’herbe qui pousse inéluctablement sur les bordures. Cette herbe, bien que nourrissante pour les bovins voisins que nous voyons paître une bonne partie de la journée, pousse et repousse sans cesse. Elle repousse même les cultures à l’intérieur des buttes et il faut lutter sans cesse.

Et lutter contre la nature, c’est nager contre le courant. Et c’est fatigant de nager contre le courant. C’est fatigant et sans fin. Sans sens.

Après m’être documenté sur diverses solutions (palissage en bambous, noisetiers ou saules), j’ai opté pour la solution de la simplicité, pas la moins onéreuse (même si le coût reste raisonnable) mais qui offre un rapport durabilité / coût / entretien / montage très favorable : les planches de bois. Il s’agit ici de planches de bois qui servent pour les clôtures (3 cm d’épaisseur).

Rapidement, pourquoi je n’ai pas choisi les autres solutions :

  • Le bambou : invasif ou non, il nécessite en tout cas pour qui veut restreindre son champ de pousse, l’installation d’une BAR (Barrière Anti Rhizomes). C’est une bande de plastique épais de 70-80cm de large et dont on va se servir pour « entourer » la surface occupée par les bambous. Les rhizomes des bambous ne peuvent la percer, et sont donc bloqués par la barrière plastique. La BAR doit être idéalement placée avec un angle de 15% en gros, afin que les rhizomes remontent vers le haut et puissent être coupés avec un sécateur. Je ne suis pas très clair, mais c’est afin que vous vous précipitiez sur l’excellent site http://lesbambous.fr/forum/ où vous trouverez tout ça en clair et décodé. Le but en tout cas était d’avoir une bambouseraie afin de récupérer les troncs des bambous pour m’en servir pour palisser les buttes. J’ai laissé tomber car je n’aime pas trop les trucs invasifs  qui nécessitent des barrière pour ne pas trop déborder, cela entraînait des frais important car la BAR pour la surface que je voulais était d’une longueur conséquente, mais surtout un énorme travail (ou encore des frais avec un tractopelle) pour creuser la tranchée de 80cm pour l’y mettre.
  • Le saule, noisetiers et autres petites branches à palisser. C’est une très belle solution, très économique, mais qui présente l’inconvénient pour qui n’a pas de saules comme moi, de devoir patienter plusieurs années pour obtenir le nombre de branches suffisant pour entourer mes buttes. De plus, c’est un bois qui ne tient pas trop sur la durée, et il faudrait repalisser régulièrement. Bon, sur ce dernier point, n’ayant pas testé, je n’en sais trop rien en fait.
  • Restaient donc les planches en bois. Solution assez sympa puisque j’ai une scierie pas loin, qui vend du bois de clôture local (en douglas (ben oui, pas trop le choix, on contribue donc à la pérennité de ces « forêts » stériles de troncs rectilignes), 3cm d’épaisseur). C’est rapide, disponible et offre une certaine durabilité puisque qu’avec 3cm d’épaisseur, cela devrait tenir au bas mot 5 ans (plus de quinze d’après le scieur).

J’ai donc commencé par transformer certaines de mes buttes

Et puis, au lieu d’en faire deux comme je le prévoyais au départ, avec l’aide de tous les rats taupiers qui se régalaient de tout ce que je plantais dans ces buttes, j’ai pris la décision de déplacer le potager. Je laisse la butte ici en place bien sûr et continue de m’en servir, mais j’ai décidé afin d’éloigner les rats, taupes, mulot et autres rongeurs des cavernes, de rapprocher le potager de notre lieu de vie.

Le bruit, l’agitation, la vie quoi est un très bon moyen de lutte contre les rats taupiers. Surtout avec des enfants ;o)

De plus, le nouvel emplacement profite d’un bâtiment qui protégera les buttes des vents glacés du nord, d’une très belle exposition et j’ai pu installer un système de récupération d’eau de pluie, ce que je pouvais plus difficilement faire avec le potager initial.

Me restait donc juste à faire les buttes. Pour l’instant, je n’ai pas eu trop le temps de m’en occuper vraiment, et n’ai donc pas le nombre désiré, mais je compte m’y remettre cet automne-hiver pour en doubler le nombre, d’au moins un tiers, restons raisonnables et surtout réalistes dans nos objectifs ;o)

Voilà déjà un peu tout ça en vrac et en commentaires…

Au final donc, une grande butte en haut de 1m70 sur 18m environs, quatre buttes de 3-4m2 en bas et une grande butte en bas aussi de 8-9m2, soit environs 55m2 de surface cultivée. C’est peu, c’est énorme, je n’en sais rien, je sais encore que c’est insuffisant pour nous, mais que cela donne déjà de très beaux résultats. Nous avons, en ce moment encore d’ailleurs (grâce à la protection des vents nord et est) de magnifiques courges, des kilos de tomates, des belles betteraves, de beaux poireaux (merci Hélène et Reuben ;o)), et pleins d’autres choses fleuries ou non.

100m2 en 2012 me semble un objectif raisonnable à atteindre. Et 100m2 de culture en buttes, façon Lespinasse et Fukuoka, il y a déjà de quoi pailler et manger :o)

Comment tuer une souche d’arbre… comme un chardon !

Et oui, parfois, on ne fait pas qu’en planter. Certains arbres dérangent et il faut les enlever, mais que faire alors de la souche ? Comment, si on n’a pas besoin de l’enlever de suite, au moins tuer l’arbre afin qu’il ne reprenne pas ?

Je sais, c’est dur de lire ce qui précède, et de l’écrire aussi qu’on se le dise, mais ayant appris une astuce plutôt simple, économique et écologique, j’avais cœur à la partager.

C’est un « ancien » qui me l’a apprise. Cela ne change pas grand chose à l’astuce, mais cela valide de suite sa fiabilité. Si je vous avais dit que c’était mon petit cousin de 7 ans qui me l’avait dit, peut-être l’auriez-vous lu différemment, et vous auriez eu tort, car on a tant à apprendre de ces petits cousins de 7 ans. ^_^

Toujours est-il que cet ancien me contait l’autre fois qu’avant, les gars s’promenaient toujours avec un peu d’gros sel dans la poche. Quand y voyaient un chardon par exemple, ils le sectionnaient à quelques cm du sol, et dans la tige creuse y plaçaient quelques grains de sel. Radical. Le sel se diffuse par l’intérieur et tue alors la plante, jusqu’aux racines ! Et sans nuire aux plantes alentour !

Il me suggérait donc, afin que ne repousse plus le noisetier que j’avais coupé au bord de l’étang, d’y appliquer la même recette !

ndantoine : pour info, ce noisetier avait eu la bonne idée de pousser au bord de l’étang, mais juste au dessus de la sortie d’eau pour la vidange de l’étang et, si ce n’est à cause des feuilles/branches/noisettes qui tombaient justement à ce stratégique endroit, la souche et ses racines sont profondément ancrées dans la maçonnerie de pierres qui surplombe tout le système d’évacuation. Si cela venait à s’effondrer, tout serait bouché.

Matériel de base donc, un appareil à faire des trous, ici mon vilebrequin avec une mèche en rapport avec la souche, et du gros sel (ici un reste de saumure qui a servi à saler du jambon (non, pas la peine de rappliquer, on a rien fumé du tout c’est juste de la récup d’un voisin)).

Il faut remettre du sel de temps en temps, ce n’est pas aussi rapide avec un arbre qu’avec du chardon, il faut donc en remettre selon la météo.

De plus, notre noisetier ayant les pieds dans l’eau, c’est un cas un peu particulier, que je règlerai lors de la prochaine vidange, fin octobre normalement.

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[ndantoine : Mise à jour de l’article avec des photos de la même souche en mai 2014 : http://www.lebief.fr/2015/04/26/comment-tuer-une-souche-darbre-resultat-du-test/ où l’on peut donc voir le résultat de ce sel sur la souche]

Game avec Jerem’

Jerem’ n’est pas quelqun comme tout le monde. Pas seulement parce qu’il a touché Marcus avec ses doigts (mais si ! Marcus, l’émission Level one sur la chaîne Game One ? Bon, en tout cas, moi, j’en ai regardé un paquet de cette émission, à l’époque où j’avais encore une télé ;o) ), mais aussi parce c’est tout simplement quelqun qui mérite à être connu.


Marcus recommande Jerem’ by Ejayremy

Et pour cela, pour être encore plus connu, rien de tel qu’un partenariat avec Le Petit Monde de Couillaler ! ^_^

Jerem’ tourne aujourd’hui ses vidéos avec une belle caméra pro Sony, autant la parer de ses plus beaux atours, et ça c’est du relooking comme sait le faire Le Petit Monde de Couillaler ! ^_^

On retrouvera un beau logo comme ci-dessous

Accessoires pour camescopes et appareils photos Sony...

sur la page d’accueil du site ejayremy.fr et en début de chacune des futures vidéos !

Voilà, je suis très heureux de ce nouveau partenariat, pas seulement parce qu’il m’offre (avec contreparties ;o) ), une belle vitrine chez tout un tas de geek masculins et féminins ayant entre 16 et 88 ans, et donc potentiellement intéressés par ce que je vends sur ma boutique ci-dessus, mais aussi parce que je suis heureux de figurer sur une vitrine si particulière, si originale.

Une vitrine humaine et sympa, un peu comme ce que pensent mes clients des services offerts chez Couillaler.

Une vitrine visitée aussi puisqu’en moyenne chacune des vidéos de Jerem’ est visionnée plus de 20 000 fois (plus de 70 000 pour les gros jeux).

Autant dire que c’est une belle aventure qui démarre avec Jerem’

 Cela vaut tous les comparateurs de prix desquels je venais tout juste de désinscrire ma société, toujours à l’affût de projets originaux auxquels je suis plus heureux de contribuer, sur lesquels je préfère figurer, auxquels je préfère participer.

Pour découvrir l’univers de Jerem’, rendez-vous

Bon, sinon, hasard calendaire, la première vidéo sur laquelle figure le logo couillaler.fr est un peu sanglante et effrayante (ambiance zombies), donc éloignez les enfants de la vidéo ci-dessous, ou ne regardez que les premières secondes. Après, plus personne ne répond de rien… ^_^

Comme on est pour une fois hors de la chaux, de la paille ou d’histoires potagères, mais au contraire sur un truc de geek, de cyber biduleries et de choses modernes, n’hésitez pas à diffuser cette information importante ur vos réseaux sociaux à vous :o)
(liens à la fin de l’article)

Continuer la lecture de « Game avec Jerem’ »

C’est l’histoire d’un mur…

Vous la connaissez non ?

Moi en tout cas, je ne la connais que trop bien. Même sa fin, que j’espère proche.

En fait, c’est l’histoire d’un mur… mais un mur… un mur paaas…. Non ! Normal je veux dire…. …..brun !

Et ce mur, il est maintenant temps de le finir, et, peut-être, est-ce là où vous pouvez intervenir !

Et ça tombe bien, le WE  du 24-25 septembre, vous aviez justement envie de respirer un bon bol de terre pure !

Oh, pas forcément tout le WE (d’ailleurs de gros chantiers en cours nous empêche d’accueillir des invités nocturnes sauf sous tente ou en chambres d’hôtes (nous n’avons même plus de salon, snif,…), je parlerai de ces chantiers quand il y fera plus clair… rôoh quel indice…), mais un moment le samedi, ou le dimanche. Quelques heures un de ces WE peuvent suffire à régler son compte à cette isolation extérieure terre-paille.

Si les principes d’une isolation extérieure terre-paille-chaux sont très simples à comprendre et à appliquer, le faire concrètement est un acte important pour parfaire ses connaissances théoriques. C’est profiter gratuitement de la possibilité de s’exercer, de pratiquer, de voir quelle est la bonne texture, une bonne méthode d’application. Cela permet de ne pas se retrouver devant son mur, chez soi, à se demander par quoi commencer. Cela permet de mieux s’organiser pour ses propres chantiers. De voir quel matériel est-il intéressant d’acheter. De sentir les choses en étant accompagné. D’augmenter les points d’expériences de son soi, de diminuer l’intensité de son émoi, tout en travaillant sous mon toit.

Il y a de quoi en rester coi.

Alors je sais, je préviens tard, mais comme certains vieux adages nous le rappelle trop souvent, il n’est jamais trop tard. Et c’est donc le cœur léger et la cervelle frétillante que je vous invite à monter sur mon bel échafaudage, à partager avec moi quelques brouets de terre paillée et surtout de joyeux moments. Nous userons alors nos gants caoutchoutés sur cette surface humide et robuste en devisant joyeusement de pleins de choses amusantes, comme le plaisir de voir nos gouvernements plus préoccupés de savoir par où ils pourraient nous en piquer encore un peu plus, que de se demander par quelles solutions simples on pourrait commencer pour économiser tout ce qui est gaspillé, entre autre tout ce qu’on nous pique de plus en plus profondément.

On pourrait aussi commencer par finir la bande que j’ai démarré sur la photo ci-dessus. Belle bande, mais si je peux réunir une petite bande d’ouvriers motivés par l’envie de passer quelques moments de méditation en haut, au milieu ou en bas d’un comabi, je pourrais même espérer voir ce projet fou (finir la bande) se réaliser.

Merci Manu, Neeko et Roger. Merci à tous mes amis qui ont participé à mon premier chantier que je voulais public. Merci Manu, Neeko et Roger. Merci à ceux qui voulaient passer, mais qui n’ont pas pu. Merci à ceux qui seraient bien venus mais qui n’étaient pas au courant. Merci Manu, Neeko et Roger, sans vous, ça n’aurait pas beaucoup avancé ce WE, parce qu’à part vous, personne n’était là :o)

En tout cas, il reste toujours de la place pour le futur chantier qu’on organise ici le WE du 24 et/ou 25 septembre où je vous attends nombreux !!! Oui oui, carrément nombreux…

Ça ne coûte pas cher de le demander en tout cas, hi hi hi…

Alors pour venir c’est simple, vous me confirmez simplement le jour de votre venue en me laissant un petit commentaire par ici, ou par téléphone pour ceux qui l’ont, ou par courriel pour ceux qui résoudront l’énigme suivante…
Avant l’arobase : antoine
Après : lebief.fr

Pfiou, compliqué…..

Merci du coup de main, nous devons vraiment terminer cette deuxième couche terre-paille avant l’hiver afin de la protéger avec une dernière et fine couche de sable-chaux au début printemps.

Tout brûlant, tout chaux ! Mais que fait la police ???

Eh oui, encore elle… MONIQUE CERRO !!!

C’est dingue ça, on la laisse un peu comme ça, sans trop faire attention, et pouf ! elle sort un troisième opus de sa trilogie fantastique !

 

Incredibeule…. déjà le troisième. En même temps que sort le dernier Harry Potter…. Ahaaaa… mais quelles sont donc les ambitions secrètes ou non de Monique ?

Rowling n’a qu’à bien se tenir à sa plume, car maintenant, Monique ne chevauche plus seule son balais à encre, car Thierry Baruch s’en est mêlé… heureusement que c’était le dernier volume de la série, car si Thierry s’en mêle, la trilogie va se transformer en décaéconologie et on en sortira plus… ;o)

Bon, à vos paniers… et n’oubliez pas de fournir encore une dernière fois votre bibliothèque ou médiathèque préférée, c’est pas cher et ça diffuse gros une information saine que ne diffusent pas nos politiques ^_^

Et n’hésite pas à repasser nous voir Monique, tu es toujours la bienvenue par ici…

Notre recette de pain sans gluten 2011

Vite fait, car on m’a demandé la recette de notre pain à plusieurs reprises récemment.

Il serait donc bon ? ^_^

Nous avons changé de recette depuis notre pain 2009, la recette est aujourd’hui encore plus simple, tout aussi bonne, voire même meilleure encore !

  • 200g de farine de sarrasin
  • 200g de farine de riz
  • une bonne pincée de sel fin
  • 2 cs de levure (pas de levure chimique, et garantie sans gluten!)
  • environs 50cl d’eau tiédasse 1
  • une lichette d’huile d’olive (optionnel. Pour la texture ? le goût ? je ne sais pas, je n’ai pas le palais assez fin ^_^)
  • une petite poignée de graines de tournesol (optionnel mais meilleur)
  • liant (optionnel mais cela change un peu la texture selon ses envies)
    • 1 cs bombée arrow root
    • OU 1 oeuf
    • OU 20g de fécule de pomme de terre
  • Graines de pavot (optionnel. Mais c’est très beau sur un pain et je trouve ça très bon)

Variante : on peut aussi encore ajouter, pour varier les plaisirs 50-80g de farine de maïs ou 50g de farine de pois chiche ou 50g de farine de quinoa. bref, on peut s’amuser assez facilement.

Pour faire le pain, c’est très simple, je pose le saladier sur la balance, je mets en vrac et dans le désordre (quoique j’ai mes petites habitudes maintenant) tous les produits secs, je mets ensuite l’eau, je touille énergiquement le tout.

Je mets de la margarine végétale dans mon fait-tout en fonte et j’y verse la pâte. Je saupoudre ensuite le tout avec des graines et zou, 1h au four à bois ou 45 minutes au four électrique (position sans ventilation, plaque haut et bas, mais faites comme vous avez l’habitude avec votre four) à environs 170-180°. Vous ajusterez la température en fonction du four encore une fois.

Oui, je cuis dans un « moule » en fonte, marre de crever du téflon ! Et, si on met de la margarine et non de l’huile, ça n’attache pas du tout ! (merci Gwenaëlle pour cette si simple astuce :o) )

  1. Ajustez la quantité en fonction de votre levure, de votre four, de votre goût, de votre expérience ^_^

GARAGE – une voie finalement très intéressante…

Eh oui ! Il n’y a guère qu’à l’école où l’on croit que les voies de garage ne mènent nulle part. Oui oui, je peux affirmer cela sans ciller, je suis la preuve vivante du contraire !!! ^_^

Avec Esox Lucius, tout mène à tout car, après sa présentation de MUSIQUE ACOUSMATIQUE8 – THE PRESENT DAY REFUSE TO DIE (fichier PDF – 630 Ko), voilà la nouvelle exposition proposée : GARAGE (fichier PDF – 190 Ko)

Voilà, alors après Jessica, je ne pouvais laisser exposer mon ami Patrice sans rien dire  ^_^

G A R A G E
ESOX LUCIUS INVITE LES PLASTICIENS
CHRISTOPHE CUZIN, JACQUES FLORET ET CYRIL HATT
Du Dimanche 3 juillet au dimanche 7 aout 2011
Exposition ouverte les jeudis, vendredis, samedis et dimanches de 15h à 19h30 ou sur rendez-vous

68, rue Lamartine – 71800 La Clayette
Entrée libre

 

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Stages de poterie – été 2011 – Jessica Roche

Eh oui ! si nous trouvons toujours nos poteries préférées (et appréciées par tous, car elles sont aussi esthétiques qu’utiles) chez notre potier préféré Reuben Batterham, nous avons maintenant aussi notre potière préférée, Jessica Roche !

Ses cours à la MJC de Charlieu ont été suivis par Virgile toute l’année, et si dorénavant nos étagères se sont alourdies de bien belles parures, il y a fort à parier que nous n’ayons à réserver un ou deux plateaux de libres pour l’année prochaine. ^_^

C’est donc avec plaisir et confiance que je lui glisse un peu de pub par ici pour les stages de cet été 2011 qui sont organisés dans un bien bel endroit :

Le Gîte de l’Abbaye, à Ligny-en-Brionnais (71)

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http://gitedelabbaye.fr/poterie

Stages de poterie

Chers amis,

A l’Atelier du Gîte de l’Abbaye, les 4 stages de poterie de cet été sont désormais ouverts à la réservation.
Au programme : modelage, initiation au tour, émaillage, cuisson, raku…

  • Du 11 au 15 juillet 2011 de 10h à 18h, 300 euros les 5 jours, matériel fourni.
  • Du 18 au 22 juillet 2011 de 10h à 18h, 300 euros les 5 jours, matériel fourni.
  • Du 16 au 20 août 2011, à partir de 5 ans, de 14h à 17h, 150 euros les 5 après-midi, matériel fourni.
  • Du 22 au 26 août 2011 de 10h à 18h, 300 euros les 5 jours, matériel fourni.

Les repas peuvent être tirés du sac et pris ensemble sur place.
L’hébergement est possible au gîte sur place .

Les stages sont mis en place pour un minimum de 3 personnes et un maximum de 5 personnes.

D’autres stages peuvent être organisés à la demande si vous êtes un groupe constitué de 3 à 5 personnes, alors n’hésitez pas à transmettre l’information à votre entourage!

Renseignements

Pour tous renseignements et inscription, vous pouvez nous joindre par téléphone ou par email.

Jessica Roche, Arlette Delangle, Brigitte Brosset

06 77 85 33 05
reservation@gitedelabbaye.fr