Mais, jusqu’où s’arrêtera t-elle ?

Mais oui, c’est fou ça. On fait pas attention, on laisse filer le fil quelques temps et paf ! v’la t’y pas qu’elle nous sort un livre !

Oui, mais pas n’importe lequel, le sien ! Et pas sous un de ses pseudo qui émaillent les magasines de bricolage, ou de la Maison Écologique ! Des pages écrites de ses mains ! Adoucies par tant d’années de travail à la chaux, attendries par toutes ces caresses qu’elle a prodigué à tant de murs humidifiés. Des pages où se terrent sans aucun doute de nombreuses informations avides de pénétrer votre cervelet pour y couler des dalles neuronales perspirantes.

Bref, Monique Cerro m’étonnera toujours, peut-être elle même un peu aussi ? ^_^

Mais son premier livre, le voici, le voilà :

Lien Amazon, qui devrait d’ailleurs corriger sa page (pas d’auteur et titre avec faute de frappe, il sera pas facile à trouver, fait péter le tribunal Monique ! ^_^ ) (corrigé aujourd’hui… bravo monique !)

Les sols à la chaux : réaliser dalles, chapes et pose de terre cuite

Présentation par l’auteur elle même sur son blog à elle :

http://terre-pierre-et-chaux.fr/Un-premier-bouquin-est-paru.html

J’avais décidé de cesser d’ajouter des livres à ma bibliothèque bricolage, mais là, inutile de dire que je vais réserver trois espaces supplémentaires !

Au vu de l’expérience de Monique en la matière, son blog, le maintenant célèbre et télévisé blog de Thierry et sa famille ainsi que de nombreux autres témoignages, à commencer par les miens, mais si, souvenez vous : mon premier chantier avec Monique et mon deuxième

eh bien, au vu de tout cela, soyez certains que ce qui doit être dit dans ces pages là sont des valeurs sûres pour tous ceux qui veulent réhabiliter leur logis quel qu’il soit !

Bon, faut que je le lise maintenant ^_^

Avec celui là que j’aime bien, ça vous fait déjà deux cadeaux pour noël de trouvé !

Il est très simple, très fourni, très clair, et ouvre d’incroyables portes pour les néophytes comme moi, comme pour les amateurs avertis car certains emboitements sont vraiment coquins… ^_^

Et s’il vous en manque encore, je vous glisserais bien d’aller faire un tour par là, vous y trouverez certainement quelque chose ^_^

http://www.couillaler.fr

L’enfance buissonière et la non-sco, un programme chargé pour l’année.

Il parait que c’est la rentrée scolaire actuellement.

Tout le monde court un peu partout, les programmes sont surchargés, les fournitures salées et le temps est à l’agitation. Le temps passe, le temps presse et se raccourcit.

C’est donc tout juste le moment de placer ces liens amis ici ^_^

Je n’en dirais rien, il y a trop de choses à en dire. Ça se passe donc là bas

  • Ici tout d’abord : http://nonsco.free.fr/

    Le site Nonsco est dédié à l’instruction en famille.

    Chaque famille non-scolarisante a sa propre façon d’appréhender ce mode de vie. Ce site est le reflet de la « non-sco » telle qu’elle est vécue dans notre famille. Pour avoir un aperçu des différentes facettes de l’IEF*, une liste de sites et de blogs de familles non-scolarisantes se trouve sur la page « Liens ».

  • et là bas aussi : http://enfance-buissonniere.poivron.org/

    Où tout commence par le commencement…

    Le groupe « L’enfance buissonnière » – anciennement « Tomate », et plus anciennement encore « Marmailles » – réunit des personnes de tous horizons ayant une volonté de changements de société sur la place que les enfants y occupent, et de lutte contre la domination adulte, tant aux niveaux public et politique que dans le quotidien.

    Nous nous rassemblons irrégulièrement pour réfléchir ensemble et fomenter des plans d’action ; ces rencontres sont aussi l’occasion de porter avec bienveillance un regard réflexif sur nos pratiques entre petits et grands.

    Nous avons construit ce site pour qu’il puisse être un lieu de ressources le plus complet possible sur les écrits qui ont circulé dans le passé et qui circulent encore aujourd’hui autour de ces questions, une bibliothèque où puiser l’inspiration nécessaire pour continuer à penser et lutter.

Clairvaux les Lacs, camping… première … Clap !

Mmmm, il fallait vraiment voir cela par un petit trou de souris.

Comme d’hab, notre semaine de camping annuelle lors de ces si enrichissantes et revitalisantes rencontres Led’A s’est soldée par un immense succès. Tant par le plaisir d’y retrouver pleins d’amis quittés de vue depuis l’an passé, mais aussi pour toutes ces nouvelles rencontres que l’on y fait. Je ne pourrais ici, et n’en ai pas l’envie, décrire l’intensité des échanges qui ont lieu dans cette étrange cité que devient un camping on ne peut plus conventionnel. Oui, c’est ça, les allées rassemblées du secteur réservé à l’association deviennent des rues, une sorte d’espace public privé et collectif. Les tentes, mobil-home, camions, camionettes, bus, tonnelles et parasols des espaces de vie plus ou moins communs ou relativement privés au gré des vents et du  soleil jurassien, des lieux pour dormir, de grands ou petits lieux collectifs pour y jouer, échanger, partager, rire ou pleurer, pour se décharger, pour se refaire. Pour apprendre, pour apprendre à désapprendre, pour réfléchir, pour arrêter de penser. Une cité de jeux, de savoirs. Une cité des enfants d’abord.

Il fallait voir ça par delà le trou de souris en fait…

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Un pain un peu chiche…

Dans le cadre de notre régime strict sans gluten, et sans caséine, et dans une envie d’improviser un pain avec le peu de farines qu’il nous reste en ce moment, j’ai réalisé cette petite recette de pain sans gluten, et ma foi, le résultat étant bien sympathique, il aurait été dommage de ne pas la partager.

Habituellement, pour peu que nous ayons des habitudes avec un cuisinier aussi imprécis que moi, j’utilise de la farine de riz, de sarrasin, de maïs et éventuellement de quinoa. Aujourd’hui, plus de sarrasin, plus de maïs. Il faut donc improviser un peu.

Voilà donc une recette de pain sans gluten simple et facile à préparer :

  • 200g de farine de riz
  • 100g de farine de pois chiche
  • 50g de farine de quinoa (pas sûr qu’elle soit bien nécessaire, si ce n’est pour apporter de la masse)
  • une ou deux cs 1 d’arrow root selon que vous vouliez un pain plus ou moins moelleux. Pas indispensable à la recette.
  • deux cs de sel fin
  • selon la marque, la température ambiante et votre envie personnelle, une ou deux cs de levure sans gluten.
  • trois / quatre cs d’huile végétale (nous on utilise de l’huile d’olive). Pas indispensable à la recette.
  • 1/2 litre d’eau bien tiède. Plus chaude que froide quoi.

Je mets tout en vrac dans un saladier, je mélange d’abord à sec, pour bien répartir les composants, on peut aussi rajouter à ce moment là des graines de tournesol par exemple, une poignée, et on met l’eau en dernier. Je mélange le tout et verse dans un moule huilé. J’utilise en général un moule à gâteau rond, d’un peu moins d’une trentaine de cm certainement. On peut alors saupoudrer  de graines de pavot, de lin ou de sésame ou ce qu’on veut, voire rien…

Pour la levée du pain, selon la température de l’eau versée, de la température ambiante, de la marque de levure et de la quantité il faut attendre environs 20-30 minutes. On peut mettre le moule au four à 50° pendant 20 minutes, cela préchauffe un peu le four et le pain monte bien.

Ensuite, c’est parti pour entre 50 et 70 minutes de cuisson, à 180° environs, selon le type de moule et le four utilisé. Ici, on utilise le four électrique (en été et bois en hiver, miam) en position plaque du haut et bas active, sans chaleur tournante, m’enfin, j’imagine que ça marche aussi en chaleur soufflée.

Voilà, temps de préparation, 15 minutes vaisselle incluse, et environs 1h30 de levée / cuisson pour avoir un bon pain comme la photo le présente assez mal, c’est tout ce qui restait lors de la photo, le bout n’est donc pas immense ^_^

  1. cs : Cuillère à soupe

Un peu d’architecture potagère

Voui voui voui… sur nos buttes où tout se mélange, il est bon d’avoir un fil directeur. Une direction ferme et métallique à suivre pour tous ces légumes indisciplinés et sauvageons. Un fil de fer qui ne chantera pas, mais qui élèvera tous ces végétaux rebelles vers des altitudes plus sereines. Comprendra qui pourra.

L’idée nous est venue en visitant l’exploitation de nos amis et voisins producteurs de semences pour Kokopelli, les sauveurs de vie. Bien entendu, l’échelle de la réalisation n’est pas la même chez nous, nos buttes ne faisant que 15m de long, mais l’idée reste la même.

Le concept est bien entendu assez simple, offre plusieurs avantages et sûrement aussi des inconvénients, nous n’avons pas testé assez longtemps, est en théorie assez peu onéreux et surtout s’adapte à toutes les plantes et à leur position sur la butte, et c’est là un des avantages majeurs du bidule. Ce système bien sûr s’adapte aussi sur sol plat. L’installation sur buttes est d’ailleurs un poil plus contraignante, du fait d’une largeur fixe et moindre pour installer le trépied.

J’ai potassé à l’époque plusieurs solutions pour accrocher nos plants de tomates. Du simple tuteur et de ses variantes spiralées ou rectilignes, de la cage à tomate achetée ou bricolée en passant aussi par la méthode, je fais rien et les laisse pousser au sol. Cette dernière méthode fonctionnant très bien, faut pas croire, mais qui laisse peut-être plus facilement s’installer certains mildiou facétieux. Nous avons d’ailleurs testé un peu tout ça (sauf les spirales que je n’ai jamais acheté), et tout fonctionne plutôt pas mal.

En ce qui nous concerne, nous avons jusqu’à aujourd’hui utilisé la solution des cages à tomates bricolées, les cages, pas les tomates (^_^) ! Ça marche plutôt bien, ne complique pas la récolte ou l’entretien du fait des larges mailles utilisées, mais par contre, ce n’est pas super esthétique, et surtout, vu le nombre de plants de tomates disséminés un peu partout, il en fallait un peu partout justement, et beaucoup, ce que nous n’avions pas. De plus, tous ces grillages partout…. pas glop… moche quoi. Mais efficace, après tout, c’est quand même le but.

Le plus difficile, pour moi en tout cas, était de trouver les morceaux de bois pour monter les trépieds. J’en comptais 9 par buttes, il en fallait donc une cinquantaine ! Cinquante morceaux de 230 cm environs sur 5-6cm de large. Pas facile. Et puis, en discutant avec notre réseau par ici, on finit toujours par rencontrer quelqun qui a une solution à tous ces petits tracas… Merci à Roger, en l’occurence, pour ne pas le nommer ^_^

Finalement, j’ai pu en récupérer une trentaine pour l’instant et, après avoir installé la première, il semblerait que 6 par butte suffisent. Il faudra voir un fois que de grosses courges y seront suspendues (^.^) . Cela dit, il sera facile de rajouter un trépied au milieu.

Les trépieds sont posés sur le sol. Le bout des morceaux de bois est scié en biseau, afin, qu’avec la pression du fil de fer tendu, ils s’enfoncent légèrement dans le sol. J’ai choisi, pour fixer le fil de fer en terre, d’acheter des piquets utilisés pour fixer les grillages au sol. J’aurais pu bricoler un truc, mais je manque un peu de matière première pour ce type de fixation, et la tension du câble est assez forte, donc il fallait un piquet solide. Pour exercer cette tension justement, j’ai choisi le même système que pour tendre les fils de grillages. J’aurais pu aussi utiliser un bâton ou une barre de fer que j’aurais croisé avec le fil et tourné tourné tourné jusqu’à tendre le filin métallique (système vu chez nos amis). On verra à l’usage.

Après avoir scié le bois pour aligner tout le monde à la même longueur environs, après avoir manipulé, installé et fixé chaque fois trois bouts de bois ensemble, non rectilignes et pas carrés de plus de 2m de long sur une butte de 1,20 m de large avec des légumes plantés partout, j’ai vu plus facile, une fois les deux trépieds posés, non sans mal donc, il suffit de planter les piquets, de fixer le filin de fer (fil de tension de plus de 2mm de diamètre, pas super souple donc) et ses tendeurs (les schmilblicks en fer qui servent à tendre les filins) et de tendre le tout justement.

Voilà, derrière cette trop longue phrase se camouflent insidieusement plusieurs heures de galère. 1m20, c’est pas large. De plus, l’irrégularité naturelle de ces trépieds ne facilite pas l’alignement géométrique nécessaire pour supporter une tension importante du câble qui les enfonce dans le sol meuble de ces buttes. Sur sol plat et large, cela doit être plus simple. Je suis curieux de voir ce que cela donnera avec le temps.

Une fois les trépieds installés, le câble tendu, il ne reste qu’à y accrocher les plantes que l’on veut. Pour ce faire, c’est très simple, avec une ficelle de son choix, on fait un grand « O » qui descend presque jusqu’au sol et on fait de simples boucles autour des branches à suspendre. C’est très rapide. Ensuite, il suffira régulièrement, au rythme d’un jardin familial qui pousse ça veut dire pas tous les jours, de refaire une petite boucle autour des nouvelles branches ou autours des anciennes qui auront poussé plus haut. On enroule la ficelle autour du plant, tout simplement. Dans la serre de nos amis, qui utilisent cette technique d’accroche depuis longtemps, les tomates montent pas loin des 2m, sans aucun soucis. Le plant est respecté, presque libre, juste soutenu. On aime.

Il faudra sûrement réajuster un peu la tension et espérer que les trépieds tiennent sur nos buttes. On verra bien. Le système nous plait beaucoup, en théorie du moins, car il permet l’accroche de tous les légumes, quel que soit leur famille, leur emplacement sur la butte, au milieu ou sur les côtés.

Je craindrai moins pour l’effondrement des trépieds une fois que nos buttes seront elles mêmes bordées par des planches ou du bambou, saule ou autre solution que nous aurons adopté, qui sera sûrement un mélange des trois ^_^

Ça va d’ailleurs me forcer un peu la main pour que j’accélère le processus d’ailleurs, car pour l’instant, je me bouge pas beaucoup pour cette phase là de notre installation potagère.

Le reste, un aperçu de tout cela et du potager, en images et en silence…

France-Inter coupe le son. Moi aussi.

La direction de France-Inter a décidé de censurer encore un peu plus l’info qui circulait hors de son contrôle sur nos ondes publiques !
J’ai dit publique, pas libres ! La preuve. Merci Jean-Luc Hees.

Même si les chroniques de didier porte ressemblaient de plus en plus à une revue de presse du canard, cela n’en restait pas moins une voix qui dénonçait ce que d’autres tentaient de cacher. C’était parfois drôle, parfois pas, peu importe. Il y avait une voix. C’est suffisamment rare pour un pays qui se dit respectueux des droits de l’homme et défendeur de la liberté des peuples

Moi, ça m’a laissé pantois sur le coup ce licenciement, même si c’est vrai, ça dérapait aussi parfois. Pantois, pas parce que j’appréciais cette chronique et l’écoutais parfois quand je le pouvais et que du coup maintenant il n’y aura plus personne à écouter, mais parce que j’y trouvais aussi un espace de liberté où enfin on entendait quelqun qui complétait un peu l’info qu’on entend bien formatée dans nos journaux. Ce complément d’info a aujourd’hui disparu de France-Inter. Presque de toutes les ondes d’ailleurs. Qui reste t-il sur nos radios ? quelques imitateurs ? Qui va aller déranger tous ces foutus crabes dans le panier maintenant ?

Alors voilà, encore une étape de franchie. On veut revoir les cours d’histoire et de géographie, on réforme la justice à sa manière, on supprime certaines subventions culturelles et associatives, on maintient ses petits privilèges ancestraux (didier porte signalait encore récemment que le changement des régimes (de retraite) de nos bedonnant décisionnaires politiques n’était pas vraiment à l’ordre du jour par exemple), on écrête les voix dérangeantes. Bref, on se radicalise encore un peu plus. Manquerait plus qu’on rende l’école obligatoire en France, comme Hitler l’avait fait en Allemagne, on devine pourquoi, et le tableau sera complet.

Alors, comme je ne peux pas faire grand chose à part soutenir comme je le peux tous les espaces de liberté possibles, à commencer par le contre-pouvoir le plus grand, le monde associatif des particuliers, je ne peux que transmettre une fois de plus ma crainte de la société que nous sommes qui est en train de se bâtir. Chaque semaine qui passe, les jours passant trop vite, on supprime un truc par ci, un truc par là. On entend des petites choses de-ci, de-là. Ça bougeotte. Lentement mais sûrement. Mais vers quoi ?

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En attendant, je vire France-Inter de ma programmation radio quotidienne, pas de raison que j’écoute une radio dirigée par des gens qui coupent ce genre de voix.

On aurait viré Coluche aujourd’hui. Mais à l’époque, on n’aurait pas laissé faire.

http://www.leblogtvnews.com/article-didier-porte-sur-france-inter-je-suis-vire-soutien-de-stephane-bern-52816448.html
http://www.liberation.fr/medias/0101643026-stephane-guillon-vire-de-la-matinale-de-france-inter
http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2010/06/23/didier-porte-renvoye-de-france-inter-par-philippe-val_1377652_3236.html
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/06/23/97001-20100623FILWWW00664-joly-denonce-l-eviction-de-guillon-et-porte.php
http://www.starwizz.com/didier-porte-vire-bern-pourrait-demissionner-64935

Identification d’un alien d’outre-terre

Salut à toi, enthomologiste confirmé, sage et avisé.

Quand je dégage la paille des butte de notre potager pour y semer ou planter des choses, au frais, sous 1 petit ou plus centimètre de terre, je trouve parfois cette facétieuse et riante petite larve (dans les 2 cms).

Ne sachant pas trop si, lors d’une des phases de son cycle, elle se transformera en mécatronic tueuse de choux, je les laisse pour l’instant là ou elles sont, mais j’aimerais savoir si je dois plutôt les déplacer vers un autre lieu de vie ?

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La marche des écoles de Chassigny sous Dun

Trop fort !

Nouveau parcours par rapport à l’année dernière, il change tous les 2 ans je crois…

Sympa, ensoleillé et qui nous a démontré une fois de plus que la région est toujours aussi verdoyante.

Pas beaucoup de photos, c’était juste histoire de.

Et comme la marche date du mois d’avril, il était temps d’en parler… ça fait trop longtemps que cet article finassait dans mes brouillons sur Worpress ^_^

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