Oui, tant qu’à faire de la publicité, autant l’assumer dès le titre! 🙂
Notez, l’idée ici n’est pas de promouvoir le produit, mais plus le procédé, l’isolation thermique par l’extérieur. Parce que si le produit change ou évolue, le principe de ce type d’isolation thermique, lui, conservera toujours ses avantages!
Comme de très nombreux sites et forums traitent déjà de l’isolation par l’extérieur, je ne m’attarderai pas sur les explications techniques des termes et procédés existants, j’irai droit à la solution que nous avons choisie, son pourquoi, et le comment de sa mise en œuvr… Enfin, non, en fait, laissons plutôt parler les concepteurs du procédé de l’isolation par l’extérieur à la chaux IsoSaintastier, ils n’ont qu’à faire leur pub eux-mêmes!
Vidéo issue du site du fabricant Chaux & Enduits de Saint-Astier (http://www.c-e-s-a.fr). Attention à l’énergique musique de démarrage, ne vous faites pas surprendre à votre bureau! 😉
Voilà, comme vous voyez, c’est un produit formidable! ^_^
L’isolation de cette façade, qui est le mur est, celui du soleil levant, est un chantier qui s’est très bien déroulé, en juin 20121. Oui, j’ai pris le temps pour l’écrire cet article-ci. 🙂
Ce chantier faisait suite à un autre plus difficile, celui des ouvertures et des fenêtres qui s’était déroulé en 2011.
Ce dernier fera l’objet d’un article prochain, car il comportait des points légaux intéressants2. Aussi, ouvrir des fenêtres dans des murs anciens quand on habite dans la maison est une expérience assez particulière, surtout quand s’y ajoutent d’autres tracas, ceux de la vie courante, ceux de la vie des autres et d’autres billevesées administratives! J’ai donc laissé filer un peu de temps après tous ces travaux pour rédiger un article ici.
En plus, je trouvais la façade étrange, avec ce rendu pavillonnaire tout neuf sur cette longue façade3, et ce toit tout vieux.
J’ai donc attendu de pouvoir prendre une photo moins étrange.
Avant de commencer ce chantier, nous avons pris soin de demander, par écrit, à notre voisin, l’autorisation de venir surplomber son terrain des 15cm de cet isolant externe. En effet, comme son terrain commence au pied de notre mur, il n’était bien entendu pas question de venir le léser d’une bande de 15cm sur les 25m de long de cette façade. L’isolant, d’ailleurs, n’est pas au contact du sol4, mais il empiète l’espace au-dessus! 🙂
Voilà, donc, ainsi, l’isolation du Bief se poursuit encore. Le nord, c’est fait, l’est aussi, le sud aussi5, l’ouest nous ne toucherons pas à l’extérieur (façade principale en pierre apparente), les combles, c’est fait aussi (mais si, souvenez-vous), reste donc encore le sol6.
Nous pourrons alors nous considérer comme bien protégés, dans cette enveloppe globale et réconfortante. Et surtout le tout avec des matériaux sains et respirants, perspirant et naturels.
Nous sommes aujourd’hui en 2017, la façade est toujours en place, elle nous protège toujours avec efficacité! ^_^
toujours avec notre formidable artisan et maçon en chef : Batisse SARL↩
Pour ceux qui veulent faire des ouvertures qui donnent chez un voisin! 😉 ↩
Je préfère largement le rendu plus arrondi et doux de mon isolation terre-paille-chaux du pignon nord, mais ici, sur cette façade, il fallait faire vite et avec efficacité, car ce mur orienté est donne sur les terres des voisins, et je n’allais pas les embêter pendant les nombreux mois qu’il m’aurait fallu pour faire cela moi-même. Surtout que je n’en débordais pas d’envie, prenant déjà beaucoup de temps pour mon petit pignon nord de 64m2! 😉 ↩
La partie de la maison sous le toit neuf y a reçu une isolation IsoSaintastier (par-dessus le toit aux tuiles plus sombres), et pour l’autre ce n’est pas nécessaire pour l’instant) ↩
Le projet est en cours de réflexion en cette année 2017, mais ce n’est pas facile d’intégrer de casser le sol des pièces de vie quand quatre personnes y habitent quotidiennement. ↩
Oui… après un petit épisode neigeux, retour au soleil.. au ciel bleu. Retour vers un ciel sans nuage. C’est beau. Et ici, à la campagne encore plus qu’ailleurs, en ce 27 novembre 2013, sans tout ce bitume urbain qui évacue par sa masse toutes ces dernières chaleurs accumulées, cela se traduit bien vite par de belles et ravissantes gelées matinales.
Bon, d’après mon logiciel de gestion de photos, celle-ci a été prise à 15:34:34, ce qui tendrait à prouver soit que :
J’ai des horaires de lever bien tardifs…
Les gelées ont aussi quelque chose de poétique les après-midi…
J’ai un sens de la précision (ou de la chance penserait quelqu’un que je connais (^_^) ) pour prendre des photos à une heure si particulière.
Il fait effectivement frais le long d’un pignon nord et que nous faisons bien de l’isoler par l’extérieur !
Oui, je sais, un peu tout ça sûrement… Il n’y a pas écrit sur mes cartes de visite de mon Petit Monde de Couillaler, après le numéro de téléphone, « pas avant 10h merci » pour rien ! ^_^
Peu importe la glace, il faut que je termine la dernière couche de cette isolation extérieure. Il est temps d’en finir ! Surtout avant que ne viennent les vrais gels, ceux qui vont empêcher le séchage correct de ces derniers mètres carrés d’enduit chaux. Nous sommes fin novembre quand même.
Au programme, la dernière zone qu’il me restait à faire juste avant que la neige ne vienne interrompre le chantier. Il me faut mouler en plus l’encadrement de fenêtre et créer les angles nécessaires à un futur volet en bois qui va venir s’y intégrer
J’ai donc commencé surtout par espérer que la météo ne viendrait pas ruiner tout ce travail de sculpture. Car c’est plutôt embêtant à faire ces angles… l’air de rien.
Cela dit, maintenant que je commence à en voir le bout, le résultat est assez plaisant. Cette masse ajoutée sur ce mur en pierres, masse de terre et de paille, est douce au regard, reposante pour l’esprit, réconfortante et présente. Elle a comme une âme. Une chaleur de vie que n’avaient pas les pierres à nu qui s’y affichait auparavant.
Mais si je ne veux pas que cette chaleur s’humidifie au dégel, il va encore me falloir nettoyer toute la base du mur et soigner la non-connexion de l’isolant au sol. Sol qui pourrait bien vouloir, par capillarité, lui refourguer de l’eau, qu’il partage volontiers, et ainsi fragiliser cette isolation extérieure par son rare point faible, sa perméabilité. D’où l’intérêt de cette dernière couche d’enduit chaux-sable pour protéger l’extérieur, et de bien couper la base du sol pour protéger les remontées par l’intérieur.
Pour rappel, ici, au pied du mur, tout du long, avait été posé un drain enterré, emmitouflé dans une tranchée emplie de galets. L’isolation repose sur plusieurs couches de planchettes souples de lièges, d’une épaisseur de 8cm environs, je crois… ça fait longtemps maintenant. 🙂
À terme, si je trouve un jour le temps (Ha!Ha!Ha! Elle est bonne ! 🙂 ), et si je vois que le liège ne suffit pas ou se détériore trop (ce qui sur une façade nord, de fait relativement protégé aussi ici, pourrait bien prendre du temps), et si je suis motivé, je pourrais bien être tenté de remplacer ces couches de ce liège réputé quasi imputrescible (je dis quasi, car quoi qu’on dise, cela reste un matériau naturel, et donc soumis au temps. (ce qui vaut aussi pour les matériaux non naturels cela dit (il n’y a qu’à penser à nos centrales nucléaires vieillissantes qui ont commencé leur putréfaction il y a quelque temps déjà. hi!hi!hi!))) par un sous-bassement comme celui utilisé sur l’isolation extérieure de notre façade est.
C’est comme un rail métallique sur lequel vient se poser l’isolation extérieure (qui ne repose pas sur lui bien sûr). C’est assez propre. Bon, ici, c’est une façade est, plus exposée aussi… Et les matériaux utilisés n’ont rien à voir. Sauf la chaux… 😉
Aah, la chaux, la terre, tous ces matériaux… c’est quand même beau !
mmmm…. devinez de quelle période nous approchons ?
Oui, bon, facile…. Octobre ?
Oui, mais cet octobre-ci date encore d’avant. D’un certain mois d’octobre 2013!
Il régnerait ici une certaine instabilité temporelle que je ne m’en étonnerais pas trop..
Cela dit, vu que nous sommes en réalité bientôt en octobre 2014, j’ai donc une année d’articles d’avance, en fait!
Continuant, bien sûr, à photographier les nombreuses évolutions par ici, j’ai ainsi en ma possession de quoi satisfaire la soif insatiable de cette sempiternelle page blanche et vide qui pourtant nourrit tant de nos esprits. C’est pas mal. Ah ça oui! Beaucoup de rédacteurs, de producteurs ou de scénaristes aimeraient bien pouvoir en dire autant, un an d’avance !
Dire qu’il me suffit d’avoir un an de retard! 😉
En plus de cela, cela me permet aussi de voir que, depuis ce temps-là, quand je reprends ces photos datant d’un an, certaines choses ont bien bougé. Et d’autres pas trop, comme ces articles que je n’arrive jamais, ou presque, à faire court. ^_^
En tout cas, on peut trouver des choses positives partout, c’était ça le message!
En ce mois d’octobre 2013, donc, en plus de courgicides, c’est l’heure de faire un joli test de colorimétrie, comme ceux que l’on voit dans les magasines ou les livres sur le bricolage.
Même si de vieux petits démons resurgirent à la fin du chantier, avec de vieilles rengaines, autrefois redondantes et trimestrielles, « Manque de rigueur! », « Peut mieux faire! » ! Éternels et inatteignables objectifs, car sans cesse repoussés vers un lointain et flou paysage doré promis par nos percepteurs d’alors. Parce qu’on peut toujours mieux faire.
De fait, sûrement parce que je suis aussi comme cela, et qu’il faut aussi plutôt y trouver du positif, et surtout parce que je préfère juger moi-même de ce genre de choses (attendant plutôt de mes instructeurs des encouragements, qui ne venaient bien souvent, ou plutôt que trop rarement, hélas, seulement tartinés parfois sur le papier avec les mêmes laconiques inconsistances verbales qui revenaient année après année), et parce que j’ai demandé ce qu’il pouvait en être à un maçon confirmé, le temps devrait patiner un résultat final que nous jugeons très beau, mais aussi avec des variations de couleur.
Oui, c’est une bien longue phrase pour dire qu’il faudrait que je m’organise différemment, ou plus rigoureusement, pour les pesées des colorants utilisés (ocre et terre de Sienne).
Les trous causés par les accroches (nécessaires vu la hauteur de l’échafaudage et le fait que je n’aie pas le matériel pour étamper de manière sécurisée un édifice si haut et si lourd) sont au final, une fois toutes les couches superposées appliquées, assez larges.
Vous l’avez compris, pour ceux qui ont lu jusqu’ici, qu’il s’agit ici de traiter de l’application de la dernière couche d’enduit, sur notre isolation extérieure en terre/paille/chaux.
Cette dernière couche est une couche simplement composée de sable fin (0-2mm) et de chaux et d….
Oh, et puis, en fait, cette recette a déjà été écrite, et par celui qui me l’a donnée qui plus est, autant lui rendre ce que je peux lui donner maintenant :
Vous voyez d’ailleurs la bande jaune sur la gauche de la photo ci-dessus ? Il s’agit de notre grande façade est, isolée par l’extérieur sur toute sa longueur avec le procédé ISOSAINTASTIER®. Oui, j’y viendrai dans un prochain article, mais sachez en tout cas que ce très efficace procédé d’isolation extérieure, à base de blocs de chaux naturelle, a été joliment et efficacement posé par la société SARL BÂTISSE, que je ne peux que recommander encore, vraiment, et sincèrement!
Notez que ce mélange est celui adapté aux matériaux utilisés ici, il faudra peut-être l’adapter chez vous.
« Pour tes enduits de finition:
Un volume de chaux aérienne
Trois volumes de sable 0/2
2% du poids de chaux d’ocre jaune
1% du poids de la chaux de terre de Sienne
Mélange des ocres et de la chaux à sec.
Puis incorporer l’eau (quantité variable en fonction de l’humidité du sable).
Puis incorporer le sable.
Bien mouiller le mur avant et pendant.
Choisir plutôt un jour froid et humide, tu auras plus de temps pour le travailler et tu sueras moins! [ndantoine: ce qui, en ce mois d’octobre, dans notre bien-aimé Brionnais, heureusement ici, ne manque pas trop]
Pour les fixations d’échafaudage on les rebouche généralement à frais en démontant après avoir enduit tout le mur.
On évite surtout d’en avoir trop!
Épaisseur de l’enduit environ 6/8 mm. »
Voilà.
Il n’y avait plus qu’à !
J’abrège le reste en images… Il serait trop long de tout raconter ici, je vais tenter de résumer tout cela dans les commentaires photo.
Moi en tout cas, je ne la connais que trop bien. Même sa fin, que j’espère proche.
En fait, c’est l’histoire d’un mur… mais un mur… un mur paaas…. Non ! Normal je veux dire…. …..brun !
Et ce mur, il est maintenant temps de le finir, et, peut-être, est-ce là où vous pouvez intervenir !
Et ça tombe bien, le WE du 24-25 septembre, vous aviez justement envie de respirer un bon bol de terre pure !
Oh, pas forcément tout le WE (d’ailleurs de gros chantiers en cours nous empêche d’accueillir des invités nocturnes sauf sous tente ou en chambres d’hôtes (nous n’avons même plus de salon, snif,…), je parlerai de ces chantiers quand il y fera plus clair… rôoh quel indice…), mais un moment le samedi, ou le dimanche. Quelques heures un de ces WE peuvent suffire à régler son compte à cette isolation extérieure terre-paille.
Si les principes d’une isolation extérieure terre-paille-chaux sont très simples à comprendre et à appliquer, le faire concrètement est un acte important pour parfaire ses connaissances théoriques. C’est profiter gratuitement de la possibilité de s’exercer, de pratiquer, de voir quelle est la bonne texture, une bonne méthode d’application. Cela permet de ne pas se retrouver devant son mur, chez soi, à se demander par quoi commencer. Cela permet de mieux s’organiser pour ses propres chantiers. De voir quel matériel est-il intéressant d’acheter. De sentir les choses en étant accompagné. D’augmenter les points d’expériences de son soi, de diminuer l’intensité de son émoi, tout en travaillant sous mon toit.
Il y a de quoi en rester coi.
Alors je sais, je préviens tard, mais comme certains vieux adages nous le rappelle trop souvent, il n’est jamais trop tard. Et c’est donc le cœur léger et la cervelle frétillante que je vous invite à monter sur mon bel échafaudage, à partager avec moi quelques brouets de terre paillée et surtout de joyeux moments. Nous userons alors nos gants caoutchoutés sur cette surface humide et robuste en devisant joyeusement de pleins de choses amusantes, comme le plaisir de voir nos gouvernements plus préoccupés de savoir par où ils pourraient nous en piquer encore un peu plus, que de se demander par quelles solutions simples on pourrait commencer pour économiser tout ce qui est gaspillé, entre autre tout ce qu’on nous pique de plus en plus profondément.
On pourrait aussi commencer par finir la bande que j’ai démarré sur la photo ci-dessus. Belle bande, mais si je peux réunir une petite bande d’ouvriers motivés par l’envie de passer quelques moments de méditation en haut, au milieu ou en bas d’un comabi, je pourrais même espérer voir ce projet fou (finir la bande) se réaliser.
Merci Manu, Neeko et Roger. Merci à tous mes amis qui ont participé à mon premier chantier que je voulais public. Merci Manu, Neeko et Roger. Merci à ceux qui voulaient passer, mais qui n’ont pas pu. Merci à ceux qui seraient bien venus mais qui n’étaient pas au courant. Merci Manu, Neeko et Roger, sans vous, ça n’aurait pas beaucoup avancé ce WE, parce qu’à part vous, personne n’était là :o)
En tout cas, il reste toujours de la place pour le futur chantier qu’on organise ici le WE du 24 et/ou 25 septembre où je vous attends nombreux !!! Oui oui, carrément nombreux…
Ça ne coûte pas cher de le demander en tout cas, hi hi hi…
Alors pour venir c’est simple, vous me confirmez simplement le jour de votre venue en me laissant un petit commentaire par ici, ou par téléphone pour ceux qui l’ont, ou par courriel pour ceux qui résoudront l’énigme suivante…
Avant l’arobase : antoine
Après : lebief.fr
Pfiou, compliqué…..
Merci du coup de main, nous devons vraiment terminer cette deuxième couche terre-paille avant l’hiver afin de la protéger avec une dernière et fine couche de sable-chaux au début printemps.
Eh oui ! Le gazouillis des oiseaux, les graines qui se sèment et qui germent, le pollen qui vient gratouiller les naseaux des abeilles survivantes, et peut-être les vôtres aussi. Toutes ces joyeuses nouvelles qui font qu’une nouvelle saison démarre ne pouvaient pas nous empêcher d’y participer un peu. Pas de raison que rien ne pousse au Bief, non ?
Il a poussé un échafaudage sur le pignon nord. Il est beau. Il est fort. Il ne bougera pas. Il attend sereinement, il ne faillira pas.
Et si on en profitait pour terminer l’applique de notre fameux enduit terre-paille-chaux ?
Et si vous veniez vous aussi profiter du chantier pour patouiller un peu dans la terre, l’appliquer sur le mur, mettre en application ce que vous avez pu lire précédemment?
VENEZ PARTICIPER GRATUITEMENT AUX PREMIERS CHANTIERS PARTICIPATIFS DU BIEF !
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Le Bief est un bel endroit, s’y reverdir l’esprit le temps de quelques heures y est toujours fertilisant !
Patouillons joyeusement dans la mère terre ! Tartinons notre mépris aux solutions conventionnelles sur la solide indifférence et impassible séculaire pierre du Bief !
Venez les 21 et 22 mai, les 28 et 29 mai !
A la demi-journée, à la journée, pour le week-end, on est libre au Bief. Libre d’agir, de participer.
Venez pratiquer en nous aidant à terminer l’isolation de ce petit pignon nord.
Une journée au vert, les mains dans la paille jaune, la terre brune. C’est une occasion pour passer à l’action ! et de se mettre au vert le temps de faire autre chose que le train train habituel :o)
Allez, on passe un peu à autre chose histoire d’avancer un peu ^_^
Il n’y a pas de raison qu’il n’y ait qu’à la radio qu’on ne parle plus de ce qui se passe au Japon, faisons une courte pause [ici et pour l’instant en tout cas] et voyons ce qui se passe sur cette isolation extérieure en terre-paille…
Il faudrait que je commence à changer mes titres… déjà que ce ne sont pas les mots clefs les plus saisissants pour un référencement de qualité, mais en plus, ça finit par lasser un peu ^_^
On devrait aller comme ça jusqu’à 8 ou 10, inimaginable…
Bon en tout cas, maintenant, l’équipe de super-héros et héroïnes (aaah, voilà du bon mot clef !) vient de s’agrandir de plusieurs membres d’un coup.
Matthieu Salles est dans la place !
Ça rigole plus. Ça bosse. Ça compose. Ça résout. Bref, nous voilà avec les mêmes capacités, mais avec le sérieux en plus.
Façon magasine cinéma : Une décevante première.
Façon magasine cuisine : Une recette à éviter.
Façon magasine de mode : Un ravalement raté pour la fin de journée.
Façon canard : Quand le sable ne tient pas chaux.
…
Peu importe le titre, seul compte le tirage. ^_^ Et là, pour le coup, question tirage de l’enduit, c’est plutôt raté. Car après une dure journée de labeur, un dur constat d’échec. La recette employée ne tient pas au mur, malgré le gobetis.
Mais alors pas du tout.
Pas grave, ce n’est pas totalement perdu pour tous, puisque ce sont les trous du chemin d’accès au Bief qui profiteront de ce beau mortier de sable/chaux/terre/paille.